L’hiver tout cabossé s’emmitoufle le cou
Il a un peu neigé sur la Vallée aux Loups
Les oiseaux se sont tus
Le bois qu’on a coupé s’empile près du houx
La porte est refermée sur la grange aux hiboux
Les oiseaux se sont tus
Près de l’étang gelé on a trouvé Ginou
Son cœur exténué n’attendait plus Marcou
Les oiseaux se sont tus
L’hiver pourra passer sur la Vallée aux Loups
Ginou est enterrée cimetière de l’Encloux
Les oiseaux se sont tus
On aura oublié et Ginou et Marcou
…Adieu ! ils ont vécu !
LORRAINE
oui vraiment chacun à son atmosphère intime , dirais je ; il y a cette convivialité du coin du feu dans ce texte comme dans d'autre et ça me touche beaucoup , il ya aussi un petit air de mon enfance , dans un monde qui n'est plus ;
merci pour tes commentaires précieux , car j'ai conscience du diletentisme de mon écriture ; je vais faire exactement comme tu dis : laisser reposer et reprendre ça en suivant tes conseils bien avisés .
merci