26 juillet 2012
LA DAME BLANCHE
Ne dites pas son nom et fuyez ces parages
Le fils du roi se meurt d’une peine d’amour
Pour avoir entrevu son regard, son visage
Au tournant du chemin comme il chassait à courre
Repartez, Monseigneur, n’attendez davantage
Tenez votre cheval et faites demi-tour
La fille aux cheveux d’or retient en esclavage
L’inconscient qui la suit sans espoir de retour
La légende prétend qu’après tant de ravages
La belle convertie alla finir ses jours
Dans un cloître perdu et que devenue sage
Elle se consara au Seigneur pour toujours
Si vous la rencontrez au hasard d’un voyage
Ne soyez pas surpris, elle a changé d’atours
C’est une Dame Blanche en sa douceur sauvage
Statufiée désormais pour chantres et troubadours
LORRAINE
(Photo Marine D.)
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