18 mai 2015
JE N'IRAI PLUS JAMAIS...
Je n’irai plus jamais aux fêtes florentines
Où le soir dévalait comme un conquistador
La danse s’allumait au son des mandolines
Et le ciel italien en soulignait l’accord
Quand le soir dévalait comme un conquistador
Le fleuve illuminait de lueurs argentines
Les clochers embrumés comme un lointain décor
Et la danse tournait au son des mandolines`
Le fleuve illuminait de lueurs argentines
Les femmes alanguies et l’ombre de leurs corps
Tandis que tournoyaient satins et mousselines
Les clochers s’embrumaient comme un lointain décor
Les femmes alanguies et l’ombre de leur corps
S’abandonnaient au jeu félin des cavatines
Dans les bras amoureux d’un quelconque signor
Je n’irai plus jamais aux fêtes florentines
LORRAINE
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