26 mars 2016
ET PARCE QUE LA VIE CONTINUE...
...et parce que nous devons retrouver le rythme de notre quotidien et que chacun apporte aux autres ce qu'il peut, ce qu'il est, j'ai rouvert mon tiroir aux consignes et mes carnets de poésie. Ils ne sont pas récents, je continue à guérir tout doucement sans me fatiguer, mais j'ai pensé que ne pouvant rien faire en souvenir des victimes et pour apaiser les coeurs inquiets, je peux tout au moins laisser quelques mots qui sentent le printemps et ravivent les courages. C'est pourquoi vous trouverez ci-dessous "Si j'avais le temps", un peu de baume sur les blessures.
A vous tous qui m'avez laissé des messages, merci! J'ai pour vous une immense pensée d'amitié.
LORRAINE
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