17 juin 2012
MON PERE
C’est en juin qu’il mourut et sa main décharnée M’a effleuré le front en un suprême adieu Sitôt on m’emmena loin des lits en rangées De cet hôpital clair. Le temps était radieux Je n’avais pas compris pourquoi ce matin-là On m’avait habillée comme on...