17 février 2011
A LA PARESSE
Te découvrir, Paresse, ah oui, je le voudrais ! Connaître ta langueur, ta douceur et tes rêves Nonchalante et comblée, lente, je flânerais Moi qui n’ai jamais pu m’accorder une trève ! Ta torpeur m’annihile et pourtant tu me tentes Je te regarde au loin...