Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
LE CAHIER DU SOIR de LORRAINE
LE CAHIER DU SOIR de LORRAINE
Publicité
LE CAHIER DU SOIR de LORRAINE
Visiteurs
Depuis la création 178 220
Newsletter
48 abonnés
Derniers commentaires
Archives
21 novembre 2008

A GIVERNY


Giverny



L’ombre mauve des nymphéas

Le sentier délicat
Et je ne sais quel charme
M’ont attardée longtemps
Près des fleurs qui là-bas
Me chantaient à l’oreille
Un air qui me désarme

J’avais cent ans de moins tout à coup,
Une ombrelle et l’âme éperdue
D’être jeune et belle
Le long de cet étang où bruissait un grillon
Et que volaient, nonchalamment,
Des papillons

Le fastueux jardin, la villa, Giverny,
Ont si bien évoqué Monet à sa peinture
Que je fus cette errante dont le passé murmure
Habillée de lin blanc et que la démesure
Emporta pour deux heures au pays du néant
Où les fantômes existent ou alors font semblant

LORRAINE

Publicité
Publicité
Commentaires
L
Bonjour à toi, tu viens quand tu le sens, bien sûr! Il n 'y a aucune contrainte. Les passages à vide existent. Si ce poème t'a semblé doux, j'en suis rès heureuse! Amitié.
Répondre
C
Un moment que je ne suis venue. Pas trop la tête à lire. Mais ta poésie est toujours aussi douce à l'esprit.
Répondre
L
Merci, Marie-Ange. L'ambiance de Giverny touche certains coins du coeur et reste dans la mémoire sensible.
Répondre
L
Giverny m'a éblouie, Lecouret. Cette maison où vécut Monet et surtout le jardin ont éveillé en moi un passé que je ne connais pas, qui est le sien et que j'ai vécu simplement en parcourant les allées sous le soleil et les jeux d'ombre.
Répondre
M
Beau poème !<br /> <br /> On s'imagine vraiment dans le tableau.<br /> <br /> Marie Ange
Répondre
Publicité