18 décembre 2013
UNE VIE
Comme l’herbe était haute aux jardins d’autrefois Et secrets les sentiers allant à la dérive J’avais dans les cheveux l’odeur âpre des bois Quand je m’en revenais un peu lasse et pensive Je n’irai plus jamais flâner près de l’étang Les dimanches de mai...